Nous accueillons une nouvelle petite rescapée sous couvert de notre association. Appartenant à un galguero et sans doute mauvaise à la chasse, Gala vivait enchaînée en permanence dans une espèce de remise.
Une gamelle, une simple toile sur le béton et cette chaîne reliée à un établi, voilà quel était le quotidien de Gala. Maria Teresa a pu négocier avec le chasseur pour qu’il lui donne cette adorable louloute.
Etant donné le grand nombre d’adoptions réalisées ces derniers jours, nous avons décidé de la prendre sous notre aile. Gala rejoindra la pension dans la journée. Nous en saurons plus sur elle dans les prochains jours.
Gala cherche dès maintenant des parrains et marraines, et sa famille pour la vie. Merci pour elle.
10 mars: Gala a 2 ans. Elle est arrivée à la résidence. Voici les premières photos de la liberté.
Je ne sais pas pourquoi, mais dès que j’ai vu l’annonce de Maria Teresa sur FB, une petite voix dans ma tête me disait « Elle est à nous, impossible autrement » !!! et bien voilà… elle est à nous. C’est une splendeur qui fera vite craquer une belle âme et un cœur tendre. Merci JP de l’avoir pris sous notre aile et merci Maria Teresa de l’avoir mise en lumière.
Heureusement que ce chasseur de merde a bien voulu la confier à Maria Térésa ! Merci Maria Térésa et JP de la récupérer. Je lui souhaite le bonheur en famille.
Merci Maria et Jean-Philippe !
Un nouveau petit coeur de plus à parrainer !.
Je t’ai ajoutée ma belle, on va s’occuper de toi.
Bonne journée à tout le monde.
quellle beauté et quelle douceur, tu mérites une famille le plus vite possible – heureusement que Maria était là
Belle louloute qui a l’air si doux
Merci de l’avoir sauvée de sa triste vie de misère
A quand la photo d un galguero enchaîné ???????Bienvenue belle louloute.
Cela serait génial, une photo d’un galguero enchaîné !!!
Moi c’est pendus que je les aimes !!!
Il faut le voir pour le croire, s’il en était encore besoin !! Quelle bande d’enfoirés impunis !! Merci, merci à Maria-Theresa ! Elle est si jolie Gala !
Pauvre chérie, quelle vie de misère, merci à Maria de l’avoir sorti de cet endroit misérable.