DISCUSSIONS DIVERSES

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4 252 Responses to “DISCUSSIONS DIVERSES”

  1. Dominique dit :

    Oui heureusement ! Elle est magnifique cette chouette, elle fixait son sauveur comme si elle comprenait (et elle comprenait !). Merci pour ces belles images.

  2. daisy69 dit :

    L’humain s’est aussi être bon et faire preuve d’empathie, la preuve par l’image: (j’ai voulu mettre directement le lien de Dailymotion, mais je ne sais pourquoi la qualité était moindre, il faut descendre un peu sur la page…)

    http://bridoz.com/une-chouette-tentait-de-se-liberer-quand-un-homme-la/

    • daisy69 dit :

      OUH là là, je viens de voir mon com…. Quelle faute! désolée: l’humain « sait aussi » bien sur… je ne sais pas où j’avais la tête 🙁

  3. Dominique dit :

    Merci Karine pour ce texte si émouvant, j’en pleure…Et les vacances qui arrivent avec son lot d’abandons ! Et ce chat qui a été martyrisé sous les yeux de tous, le monde est fou et cruel. Sans parler bien sûr de toute cette violence dans le monde qui tue des innocents, des enfants…dur, dur…

  4. Gisele dit :

    Très émouvant ! merci Karine de nous avoir fait partager ce si beau texte ! A faire apprendre aux écoliers , ce serait bien je pense !

  5. CELIA69 dit :

    Poignant de vérité

    • Gisele dit :

      Si j’avais pu signer 1000 fois Sylvie !
      Mais j’ai transmis à mes contacts en espérant que ça fasse boule de neige !
      Après avoir lu l’article, je peux dire que je n’en ai pas dormi de la nuit !
      Massacrer un chat jusqu’à la mort, lui arracher les yeux, un tel déferlement de violence, en plein centre ville devant des centaines de témoins qui n’ont pas bougé le petit doigt par peur de  » représailles  » alors qu’un coup de fil aurait peut-être suffi pour le sauver ! » !
      On est vraiment entourés de lâches, pas étonnant que personne bouge aussi quand une personne est agressée !
      Les dégénèrés peuvent continuer leurs  » jeux  » !!

  6. Karine54 dit :

    Au fond d’un vieux refuge…

    Au fond d’un vieux refuge, dans une niche en bois,
    Depuis deux ans, je purge d’avoir trop cru en toi.
    Tous les jours je t’attends, certain que tu viendras,
    Tous les soirs je m’endors, sans que tu ne sois là.

    Pourtant, je suis certain, je te reconnaîtrai.
    Viens me tendre la main, je te la lècherai.
    Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
    Que tu me caressais, que je dansais de joie.

    Que s’est il donc passé pour que ce 16 juin,
    Heureux que tu étais, je me le rappelle bien,
    Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
    Que tu m’aies attaché, là, devant cette église.

    Je ne peux pas comprendre, et je ne croirai jamais
    Que toi, qui fus si tendre, tu sois devenu aussi mauvais,
    Peut être es-tu très loin, dans un autre pays,
    Mais quand tu reviendras moi j’aurai trop vieilli.

    Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
    Mon corps s’épuise, et mon cœur se morfond,
    Je n’ai plus de goût à rien, et je deviens si laid,
    Que personne jamais ne voudra m’adopter.

    Mais moi je ne veux pas que l’on me trouve un maître,
    Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
    Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
    Pour toutes illusions enfin leur enlever.

    Car c’est toi que j’attends, prêt à te pardonner,
    A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
    Et je suis sûr, tu vois, qu’ensemble nous saurions
    Vivre des jours heureux, en réconciliation.

    Pour cela, je suis prêt à faire de gros efforts,
    A rester près de toi, veiller quand tu dors,
    Et à me contenter, même si j’ai très faim,
    D’un vulgaire petit os et d’un morceau de pain.

    Je n’ai jamais rien dit, lorsque tu m’as frappé,
    Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
    Tu avais tous les droits, j’étais à ton service,
    Je t’aimais sans compter, j’acceptais tous tes sévices.

    Tu m’as mis la chaîne, où tu m’as enfermé,
    Tu m’as laissé des jours, sans boire ni manger
    J’ai dormi bien souvent, dans la niche sans toit,
    Paralysé, raidi, tellement j’avais froid.

    Pourtant si tu reviens, nous partirons ensemble,
    Nous franchirons en chœur , la porte qui ressemble
    A celle d’une prison que je ne veux plus voir,
    Et dans laquelle, hélas, j’ai broyé tant de noir.

    Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
    Puis l’infirmière, et le vétérinaire plus loin.
    Ils entrent dans l’enclos, et leurs visages blêmes,
    En disent long pour nous, sur ce qu’ils nous amènent.

    Je suis heureux, car tu vois dans quelques instants,
    Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
    Je m’endormirai sur toi, mon cher et grand ami,
    Je dormirai toujours grâce à l’euthanasie.

    Et s’il t’arrive un jour de penser à moi,
    Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d’émoi,
    Pour toi, je n’étais qu’un chien, tu préférais la mer,
    Tu l’aurais su avant, j’aurais payé moins cher.

    A vous tous les humains, j’adresse une prière,
    Me tuer tout petit aurait peiné ma mère,
    Mais il eût mieux valu, pour moi, cette manière,
    Et vous n’auriez pas eu, aujourd’hui, à le faire.

    Texte de Gilbert Dumas.

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